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Qu’il s’agisse de la recherche du professionnel adéquat, de son intégration dans l’entreprise ou du déroulement de sa mission : dans ces 3 phases stratégiques, le recours au management de transition apporte un gain de temps considérable aux entreprises… De quoi se concentrer sur sa vraie valeur ajoutée.
Oui, le management de transition implique un gain de temps.
Oui, le management de transition implique un gain d’argent.
Un recrutement se compose – au moins – de 7 grandes étapes, parfois plus fastidieuses qu’il n’y paraît :
L’expression du besoin, par exemple, nécessite de s’interroger sur le profil et les compétences recherchées au regard de la situation. Publier une annonce impose de trouver les bons canaux pour la diffuser auprès des bonnes cibles et recevoir des candidatures qualifiées, sans risquer de passer à côté de bons profils qui n’auraient pas été touchés par l’annonce. Quant au tri des candidatures, il comporte aussi un volet de vérification, qui consiste à joindre les candidats présélectionnés pour s’assurer de leurs compétences, de leur disponibilité et de leurs prétentions salariales. Avant de passer aux entretiens proprement dit avec les candidats de la short list.
7 étapes minimum donc, sans compter les inévitables aller-retours entre services RH et opérationnels notamment, et la multitude d’acteurs impliqués dans le processus… Au final, beaucoup de temps à consacrer pour l’entreprise et un délai de plusieurs semaines.
« Recourir au management de transition réduit tout cela à 2 étapes pour l’entreprise : 1 échange pour qualifier son besoin avec un expert, puis 2 entretiens de 45 minutes avec 2 candidats identifiés, détaille Arnaud Desclèves, fondateur et président de IMfinity. Entre votre demande et les entretiens finaux, il ne s’écoule que 3 jours. Nous nous occupons de tout le reste. Un gain de temps considérable, que vous pouvez mettre à profit pour votre cœur de métier. »
À la différence d’un nouvel arrivant en CDD ou en CDI, le manager de transition n’a pas besoin d’une période d’intégration ou d’acclimatation : immédiatement opérationnel, il commence à délivrer dès sa 1re demi-journée dans l’entreprise.
« Les attentes ne sont pas les mêmes : le manager de transition vient pour une durée déterminée et n’a pas vocation à s’inscrire dans la durée ni à entrer dans des considérations internes, poursuit Arnaud Desclèves. Il lui suffit d’être présenté à ses interlocuteurs clefs, d’avoir un ordinateur et les éléments nécessaires à sa connaissance pour se plonger dans les dossiers. Il entre directement dans le vif du sujet, sans journée non productive. »
Le gain de temps se mesure aussi tout au long du contrat dans l’entreprise.
D’abord dès le démarrage : il n’y a pas besoin de dispenser de formation au manager de transition, ni de lui laisser le temps de se plonger dans les dossiers. Expert, il maîtrise déjà la matière qu’il doit manipuler. Seuls quelques éléments techniques, propres à l’entreprise, doivent lui être signifiés. Mais sans devoir prévoir de montée en compétences.
Gain de temps aussi dans les reportings : coutumier de l’exercice, le manager de transition s’adapte. Soit il s’approprie les modèles de reportings existants dans l’entreprise, soit il utilise ses propres matrices. « Direct dans ses constats, il ne s’embarrasse pas de considérations RH (ce rapport sera-t-il bon pour ma carrière ?) ou politiques (comment cette note sera-t-elle perçue ? ). Il est là pour délivrer un travail efficace, de fond et objectif, sans chercher à être bien vu pour se faire une place. » précise Arnaud Desclèves.
Le gain de temps se mesure également au quotidien. « Par définition, le manager de transition n’entre pas dans les jeux internes, il est concentré sur les objectifs business fixés et ne s’attarde pas avec les relations interpersonnelles qui occupent bon nombre de discussions et de réunions. En tête, il n’a que sa mission. »
Pour finir, le manager de transition reste opérationnel jusqu’à la dernière heure du dernier jour de son contrat, en continuant à délivrer jusqu’au terme de sa mission. « Pas de journée consacrée à une tournée d’adieu ou à une salutation à tous ses collègues ! résume en plaisantant Arnaud Desclèves. Il faut bien le reconnaître, les derniers jours d’un salarié en CDD ou en CDI sont rarement productifs. À l’inverse, le manager de transition reste concentré sur sa mission et prépare sa transmission de manière efficace, en laissant un document structuré à celui ou celle qui prendra sa suite. » Jusqu’au bout, un contrat efficace et du temps consacré exclusivement à la mission !
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